Météo arabe - À la mi-novembre de cette année (2021), les données du Département météorologique jordanien ont montré que le pourcentage de la saison atteint jusqu'à présent n'était que de 1%, tandis que les mêmes données indiquaient que la performance de la saison des pluies pas dépasser 18 % par rapport aux quantités de pluie qui sont censées tomber pour cette période de l'année, où l'on suppose que ce pourcentage dans des conditions normales est supérieur à 90 %.
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Ces données et valeurs indiquent que le stade de danger s'est approché, qui est représenté par un état général de sécheresse, et que le Royaume et la région du Levant traversent une étape de pluies faibles depuis le début de cet automne, comme la Jordanie et d'autres pays de la région souffrent d'une pénurie importante des quantités de pluie qui sont censées tomber pour cette période de l'année et compte tenu des avertissements et des inquiétudes concernant la situation de l'eau en Jordanie.
Le rapport statistique sur la pluie montre que la plupart des régions du Royaume ont enregistré des performances de pluie très modestes jusqu'à présent, lorsque l'on compare ce qui a été réalisé à partir de la quantité réelle de pluie qui est tombée pendant cette saison des pluies avec ce qui est censé tomber (qui est calculé sur la base de ce qui a été enregistré sur le terrain au cours des trente dernières années), nous constatons qu'aucune région n'a dépassé le total des précipitations supposées, et que toutes les régions du Royaume dans son ensemble à l'exception de Tafila et Karak souffrent d'une pénurie de pluie sévère et sévère, et le même rapport statistique montre que la performance de la pluie dans la région nord s'élevait à environ 20%, tandis que la performance de la pluie a considérablement diminué dans la capitale et toutes les régions centrales ont enregistré des valeurs modestes de 10%, et la région de Wadi Musa, par exemple, n'a pas obtenu des précipitations importantes jusqu'à présent.
Arab Weather pense que la situation actuelle nécessite plus d'inquiétude, d'attention et de préparation pour ce qui est pire, mais nous demandons à Dieu Tout-Puissant de changer la situation, et de manière positive, les spécialistes arabes de la météo confirment que le total final de la saison des pluies ne dépend pas sur la pluie qui ne tombe que pendant la saison d'automne, et qu'il y a de nombreuses saisons L'automne n'a pas connu de bonnes précipitations, tandis que les totaux de pluie finaux de la saison se sont terminés avec des précipitations autour ou au-dessus des moyennes saisonnières.
L'équipe du Centre météorologique arabe a attribué la stagnation des pluies à la répartition des systèmes météorologiques qui ne desservent pas la région, alors qu'une série de masses d'air froid se précipitent vers différentes régions du continent européen, en particulier les parties occidentales de celui-ci s'étendant jusqu'aux parties nord-ouest de l'Afrique comme l'Algérie, ce qui se traduit par la formation de fortes dépressions atmosphériques. Dans ces zones, où environ 500 mm sont tombés dans la capitale Alger au cours des trois dernières semaines, ce qui dépasse la moyenne annuelle dans de nombreuses villes jordaniennes, dont la capitale Amman, ces les dépressions atmosphériques correspondent à des pressions atmosphériques élevées sur le Machrek arabe, de sorte que le Levant, y compris la Jordanie, est une zone de couverture. du Maghreb sont scientifiquement connus comme les régions de l'opposé, ce qui signifie que les conditions météorologiques sont « inversement » liées à la météo au Levant la plupart du temps.
Récemment, le terme réchauffement de la planète et changement climatique a été largement diffusé et lié à la pénurie actuelle de pluie, et ici le Centre météorologique arabe explique qu'il est clair que la planète connaît un changement climatique en raison de divers facteurs, dont peut-être le plus important. sont les cycles climatiques naturels que traverse la planète, et l'étalement urbain, ainsi que d'autres facteurs, mais les spécialistes confirment que les détails précis liés à la goutte de pluie actuelle et aux conditions particulières de chaque région, ne peuvent pas être directement liés au phénomène du changement climatique, et la raison la plus importante reste la répartition des masses d'air et la température de l'eau des océans est le principal facteur après la volonté de Dieu.
Les données climatiques du Royaume montrent également que la nature des saisons des pluies dans le Royaume fluctue en raison de la situation géographique de la Jordanie entre deux climats (le climat désertique et le climat méditerranéen) Les interruptions de pluie sont particulièrement fréquentes en automne, comme les données climatiques statistiques. émis par le Département météorologique jordanien indiquent que le Royaume a souffert de pluies faibles ou stagnantes au début de la saison des pluies au cours d'environ 50 saisons pluvieuses précédentes sur 100 saisons pluvieuses, soit une moyenne de 50% des saisons pluvieuses ;
Et le bulletin mensuel du mois de novembre 2021, publié plus tôt par le Centre météorologique arabe, indiquait que le temps en novembre serait caractérisé par les éléments suivants :
Cependant, selon les nouvelles cartes météorologiques, elles montrent la possibilité de conditions météorologiques instables les 21 et 22 novembre qui pourraient entraîner des pluies dans certaines régions, mais les spécialistes du Centre météorologique arabe estiment que les indicateurs actuels de cette situation sont caractérisés par grande méfiance jusqu'à présent et crainte qu'elle ne s'estompe D'après les cartes, il est également peu probable que le Royaume à cette date soit exposé à une profonde dépression atmosphérique, comme on le dit.
Nous demandons à Dieu Tout-Puissant de pourvoir à la pluie et de ne pas nous décourager
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