Météo d'Arabie - Une étude menée par la BBC révèle la réticence des femmes à utiliser la technologie, en particulier l'intelligence artificielle, à la lumière de la moindre implication des femmes dans les domaines de la science et de la technologie au Royaume-Uni. Le rapport indique que seulement 24 % de la main-d'œuvre en Arabie Saoudite. ces secteurs sont féminins, ce qui affecte la confiance des femmes dans l'utilisation de la technologie.
L'étude montre que les femmes ont tendance à s'efforcer d'atteindre un niveau élevé de compétence avant de penser à utiliser la technologie, tandis que les hommes acceptent les défis sans avoir besoin d'un niveau élevé de compétence. De plus, les femmes craignent que les autres les apprécient pour leur utilisation de la technologie, car cela peut être compris comme un manque de compétence, de qualifications ou d’aptitudes.
Dans ce contexte, les femmes sont réticentes à utiliser l'application « GBT Chat » , puisque 54 % des hommes utilisent l'intelligence artificielle, alors que ce chiffre chute à 35 % chez les femmes , et certaines femmes sont réticentes à utiliser la technologie pour préserver leur identité et leur voix.
Une nouvelle étude du McKinsey Global Institute prévient que les progrès de la technologie et de l'intelligence artificielle pourraient conduire au remplacement d'un plus grand nombre de femmes dans leurs domaines de travail, et suggère que les femmes pourraient être plus vulnérables à la perte de leur emploi ; Grâce à l’intelligence artificielle, son taux est plus élevé que celui des hommes.
L’étude prédit que les opérations d’IA entraîneront environ 12 millions de transitions professionnelles aux États-Unis d’ici 2030, et que les femmes semblent plus susceptibles d’évoluer vers de nouvelles professions ; En raison du taux d'intelligence artificielle d'environ une fois et demie, l'étude confirme l'importance du développement des compétences en intelligence artificielle, car la demande pour ces compétences devrait augmenter de plus de 50 % d'ici 2025. Les deux sociétés , « Supermums » et « AI Force » proposent une formation unique pour améliorer les compétences en intelligence artificielle et souligner l'importance de ces compétences dans le travail moderne.
À l’échelle internationale, les recherches montrent que les femmes sur le marché du travail reçoivent des salaires inférieurs, occupent moins de postes de direction et participent moins aux domaines STEM.
Un rapport de l'UNESCO de 2019 révèle que les femmes ne représentent que 29 % des emplois en R&D scientifique dans le monde et que les femmes sont 25 % moins susceptibles que les hommes d'utiliser la technologie numérique à des fins de base.
Alors que l’intelligence artificielle continue de mûrir et de se développer, ce rapport soulève la question suivante : à quoi ressemblera le futur marché du travail pour les femmes ?
La puissance de l’IA sera-t-elle exploitée efficacement pour réduire les écarts en matière d’égalité entre les sexes, ou ces écarts persisteront-ils, voire se creuseront-ils ? Cette collaboration entre l'UNESCO, la Banque interaméricaine de développement (BID) et l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) examine l'impact de l'utilisation de l'intelligence artificielle sur la vie des femmes au travail, en suivant les principales étapes du cycle de vie de la main-d’œuvre, depuis les exigences du poste jusqu’au recrutement, à l’avancement de carrière et au développement des compétences sur le lieu de travail. Cette collaboration représente une introduction complète aux questions de genre et d’intelligence artificielle et vise à faire avancer les conversations importantes sur l’égalité des femmes sur le lieu de travail.
Malgré les défis auxquels les femmes sont confrontées dans le domaine des applications de l'intelligence artificielle, l'influence de nombreuses femmes créatives qui ont su briller dans ce domaine et apporter des contributions exceptionnelles est soulignée. Ce succès se traduit par la fourniture d'applications innovantes et la gestion d'institutions technologiques pionnières. Trois femmes accomplies peuvent être citées dans ce contexte :
L'une des personnalités les plus influentes dans le domaine de l'intelligence artificielle, elle est codirectrice de l'Institut de Stanford pour l'intelligence artificielle centrée sur l'humain (HAI) et également professeur d'informatique à l'Université de Stanford. Elle est célèbre pour ses travaux dans le domaine de la vision par ordinateur et de la reconnaissance d'images et a contribué de manière significative au développement de la base de données ImageNet, qui est devenue une norme en matière de reconnaissance visuelle.
Chercheuse en informatique connue pour ses travaux dans le domaine de la robotique sociale, où elle occupe également le poste de professeur au Massachusetts Institute of Technology (MIT) et a dirigé le groupe de robotique personnelle de l'institut, elle a développé le premier robot social appelé « Kismet ». », qui a été conçu pour interagir naturellement avec les humains, et a influencé le développement du domaine des robots sociaux.
Informaticien connue pour ses recherches en cryptographie, elle est directrice du Simons Institute for the Theory of Computing de l'Université de Californie à Berkeley et figure de proue dans le domaine de la cryptographie, où elle a apporté d'importantes contributions en développant zéro- preuves de connaissances et co-création du système de cryptographie probabiliste connu sous le nom de système de cryptographie Goldwasser-Micali.
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Sources:
l'application de météo arabe
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